.
.
.
.
.
.
.
.
.
 
 

Consultation séquentielle des textes intégraux

 Tome 
 Titre
 Page 
XIII .
 
1796, À mon refuge sur le Leopoldberg près de Vienne, et se vend à Dresde chez les Frères Walther.
 
 

(Nous donnons les mots essentiels des titres des pièces en vers dont suivent les incipit, placés entre crochets)

 
  Titre (-)
  Écarts [début partie 2] 257-265
 
Vers gravés derrière un portrait du chevalier de C. [D’un pauvre chevalier c’est la pâle effigie]
265
  Vers sur mon portrait [Il a l’air étonné de l’honneur qu’il reçoit] 265-266
 
Suite de la jolie fable de la rose de M. Delille [Pauvre rose et pauvre étourneau]
266-267
 
Notre épitaphe [Dans cette tombe où la beauté repose]
267
 
Bouts rimés au duc d… [De ta femme adorer l’esprit et la figure]
267
 
Tous impromptus [Le présent seul est mon système - D’Hercule tenant le fuseau - J’ai vu souvent nommer caprice - L’amour croit m’égayer avec des bouts-rimés]
268-269
 
À Mlle de… qui avait joué  L’amitié à l’épreuve [C.S. Favart, 1771] [Quel pouvoir sur mon âme]
270-271
  Écarts 272-284
 
Vers sur les nouveaux opéras [Pourquoi donc, abusant de notre déraison]
284-286
 
Au g[énéral] R.[emer ?] [O vous qui séduisez l’esprit de la jeunesse]
287-290
 
Un chevalier français toujours galant [Vénus déteste les combats - L’on ne voit pas plus de combats]
290-291
 
J’étais à la campagne [Les vers, l’amitié, la chasse]
291-293
 
Une chanoinesse m’ordonna de lui envoyer tous mes vers [de mes petits enfants prenez un peu de soin]
293
  On m’envoya le portrait du Grand Condé [Je baise encore ce cher portrait] 294-295
 
Écarts
295-304
 
 
Lettre à une Hollandaise charmante [Qu’on est heureux …]
304-307
 
Quatrain sous le portrait de mon meilleur ami [Les valeurs d’un héros, la fermeté d’un sage]
307
 
Autre [Avez-vous vu mon pauvre cœur]
307-308
 
À une femme dont je prétends que j’ai des apparitions toutes les nuits [Viens, charmant petit revenant]
308-309
 
À un vieux général [Quand on a vécu comme vous]
309-310
 
Réponse à cette question : laquelle des quatre pièces Mahomet et Zaïre, Tancrède et Sémiramis, est préférable [Voltaire - Mahomet me subjugue, aux élans du génie]
310
 
Écarts
311-321
  Il y avait grande apparence de bataille [Dorat, Bernard et Delille, et Cubières] 321-324
 
Fable [Les voyageurs sont babillards, dit-on]
324-327
 
Air [Avez-vous chanté la lune]
327-328
 
Arrivée d’une mère et de son fils à mon refuge [les Sabran - Le bonheur fut jadis en France]
328-329
 
À Mlle de … [Lorsque l’amant heureux d’Eléonore]
329
 
M M. m’assommait de mes affaires [Sous le nom d’amitié]
329-330
  Écarts 330-341
 
À Mlle de… qui m’avait envoyé à Belœil en pénitence [Dans mes bois, mes prés et mes champs]
342
 
A-t-on jamais fait une épigramme [Vous usez mal de vos oreilles]
343
  Je ne puis parler de sens froid [j.f. moldave - Une volupté pure] 343-344
 
Ce sont des couplets sur le vaudeville de Figaro [Mal, avant cette journée]
345
 
[J’entends parler tout le monde]
346
  Sur la mort de Frédéric II [Il n’est donc plus, ce sublime génie] 346-347
 
C’est à une Grecque [Trésor de l’Orient, ornement de la Grèce]
347-348
  On parlait à Jassy [Les uns pensent à la guerre] 348
 
C’est la parodie du charmant air de L’amant statue [F.G. Fouques Desfontaines, 1785 - Un militaire]
349
 
C’était à Mme de Samoilow [Qui peut d’amour soupçonner la naissance ?]
349-350
 
C’est à un homme de beaucoup d’esprit [Je vous vois affligé, triste historien d’amour]
351
 
On connaît l’air : Chansons [Pays-Bas 1787 - Je vois avec plaisir, Mesdames]
352
 
J’espère que le misérable [Du feu de Lucifer, où se tient ton bureau]
352-353
 
Oui, je le nommerai [Prends, ami, mon régime]
353-354
 
[En partant pour la Turquie]
354
  [O toi ma destinée] 355-356
  J’avais prêté, à cette jolie créature, l’ancienne Héloïse [Au risque d’essuyer le destin d’Abélard] 356-357
 
Après l’ancienne Héloïse,  il est clair que l’on pense à  La nouvelle [Que ne puis-je vous voir au pays des romans]
357-358
 
Écarts
358-369
 
Romance sur l’air de Tristan [Tu pouvais lire dans mon âme]
369-371
  En envoyant un livre à la plus belle [D’un langoureux amant, d’un menteur, d’un poète] 371-372
 
Un diplomate  bien aimable [Robert le Diable était un méchant homme]
372-374
 
Une jolie femme me pria d’écrire sur ses jarretières [Ce lien que l’amour prend pour une conquête]
374
 
Inscription sur une statue de l’Amitié [Amitié, que fais-tu seule dans mon jardin ?]
374-375
 
Sous une statue de l’Amour [Ses bonheurs, ses malheurs incommodaient mon âme]
375
 
Écarts
375-383
 
Le baron de … [Vous vous trompez, baron. En battant la campagne]
384-385
 
Bouts rimés à une grande souveraine [Catherine II - À la règle des vers, aux lois de l’harmonie]
385-386
 
C’est au comte André  de Schuwaloff [Époux d’une Pallas, père d’une Vénus]
386
 
Ode sur la prise d’Oczakow [Qu’on ne lise pas ceci - Où suis-je ? ô Ciel ! hors de moi-même]
387-396
 
Bouts-rimés [Frédéric II - Avec les plus fameux et grands joueurs de flûte]
397
 
J’étais de service chez l’empereur [De l’antichambre]
397-398
 
Encore faut-il bien dire du mal quelquefois de ses amis [Sous l’embonpoint de l’envie]
399
 
Quand le cœur fait des variantes [Lady Montaigu - Milady, le temps sont changés]
399-401
 
 
C’était à Mlle de… qui se mariait [O vous qui n’auriez point dû naître]
401
 
Écarts
402-417
 
À Mme de… qui alla à Berlin trop tard [Sur les rives de la Spree]
417
 
Déclaration [Quelles plus dures nuits ! de penser à Sylvie]
417-418
 
Au prince de Bathiany [1790 - O toi, cher descendant de l’amant de Julie]
418-419
 
À Mme la C. de… en lui envoyant le manuscrit de mes Écarts [Tout à tour vous verrez dans ce pauvre ouvrage]
419-420
 
Sur un air nouveau [Sans être heureux, ma charmante journée]
420
 
Inscription sur une de mes murailles du Kahlenberg [Du Danube apprenez comment coulent vos jours]
420-421
 
Pour une jolie femme [Hélène - C’est aujourd’hui mon jour de fête]
421
 
À une autre [Je baise avec transport votre double présent]
421-422
  L’an 1785, le seigneur d’Enghien [Arenberg - Privé des rayons du soleil] 422-423
 
Les improvisateurs italiens [Polignac - Le jour de votre naissance]
423-424
 
Mme D… m’avait fait une couronne de fleurs [Ma couronne est bien la première]
425-426
 
Écarts
426-437
  Pour une fête maçonnique [C’est sur cet air de la franchise] 437-438
 
À la plus jolie petite milady [O vous qui, sans remords, êtes mon héroïne]
438-439
 
Sous le portrait de la duchesse de Polignac [De l’âme la plus ferme, et du tact le plus sûr]
439
 
Au prince de Beloselsky [Horace, Ovide, Locke, et Newton à la fois]
439-440
 
Parodie, plaisanterie, impromptu [Comm’ c’Monsr, d’la France est honnête]
440
 
J’écrivis ceci à la fin du recueil de vers de M. Legros [Harmonieux, piquant, facile, et sombre]
440-441
 
Au prince Potemkine, l’hiver de 1787 à 1788, à Elisabeth gorod [Assemblage étonnant des dons de la nature]
441-442
 
Mes vers aux inhumaines [Les Ovide, et les Parny]
443
 
À la fille de l’auteur du livre De l’esprit et Du bonheur [Helvétius - Le plus grand des Écarts est de vous les offrir]
444
 
Écarts
444-456
 
À S. auteur des Trois siècles [Sabatier - Si vous n’aviez servi que le Dieu d’Israël]
456-457
 
Fragments d’une lettre à la M. de C. [Coigny ? - Régnez en paix sur ces rivages]
457-458
 
Inscription sur un banc [C.A. de Ligne - Il fut assis ici, celui que j’aimais tant]
458
 
À Madame Lebrun, le plus habile peintre [Pour avoir fait à l’Empyrée]
458-459
 
À une novice [Sans espérance d’arriver]
459-460
 
À M. de M. au sujet de ses vers sur une promenade sur le Danube [Vainqueur aujourd’hui de moi-même]
460-461
 
Écarts
375-383
 
Le baron de … [Vous vous trompez, baron. En battant la campagne]
384-385
 
Bouts rimés à une grande souveraine [Catherine II - À la règle des vers, aux lois de l’harmonie]
385-386
 
C’est au comte André  de Schuwaloff [Époux d’une Pallas, père d’une Vénus]
386
 
Ode sur la prise d’Oczakow [Qu’on ne lise pas ceci - Où suis-je ? ô Ciel ! hors de moi-même]
387-396
 
Bouts-rimés [Frédéric II - Avec les plus fameux et grands joueurs de flûte]
397
 
J’étais de service chez l’empereur [De l’antichambre]
397-398
 
Encore faut-il bien dire du mal quelquefois de ses amis [Sous l’embonpoint de l’envie]
399
 
Quand le cœur fait des variantes [Lady Montaigu - Milady, le temps sont changés]
399-401
 
 
C’était à Mlle de… qui se mariait [O vous qui n’auriez point dû naître]
401
 
Écarts
402-417
 
À Mme de… qui alla à Berlin trop tard [Sur les rives de la Spree]
417
 
Déclaration [Quelles plus dures nuits ! de penser à Sylvie]
417-418
 
Au prince de Bathiany [1790 - O toi, cher descendant de l’amant de Julie]
418-419
 
À Mme la C. de… en lui envoyant le manuscrit de mes Écarts [Tout à tour vous verrez dans ce pauvre ouvrage]
419-420
 
Sur un air nouveau [Sans être heureux, ma charmante journée]
420
 
Inscription sur une de mes murailles du Kahlenberg [Du Danube apprenez comment coulent vos jours]
420-421
 
Pour une jolie femme [Hélène - C’est aujourd’hui mon jour de fête]
421
 
À une autre [Je baise avec transport votre double présent]
421-422
  L’an 1785, le seigneur d’Enghien [Arenberg - Privé des rayons du soleil] 422-423
 
Les improvisateurs italiens [Polignac - Le jour de votre naissance]
423-424
 
Mme D… m’avait fait une couronne de fleurs [Ma couronne est bien la première]
425-426
 
Écarts
426-437
  Pour une fête maçonnique [C’est sur cet air de la franchise] 437-438
 
À la plus jolie petite milady [O vous qui, sans remords, êtes mon héroïne]
438-439
 
Sous le portrait de la duchesse de Polignac [De l’âme la plus ferme, et du tact le plus sûr]
439
 
Au prince de Beloselsky [Horace, Ovide, Locke, et Newton à la fois]
439-440
 
Parodie, plaisanterie, impromptu [Comm’ c’Monsr, d’la France est honnête]
440
 
J’écrivis ceci à la fin du recueil de vers de M. Legros [Harmonieux, piquant, facile, et sombre]
440-441
 
Au prince Potemkine, l’hiver de 1787 à 1788, à Elisabeth gorod [Assemblage étonnant des dons de la nature]
441-442
 
Mes vers aux inhumaines [Les Ovide, et les Parny]
443
 
À la fille de l’auteur du livre De l’esprit et Du bonheur [Helvétius - Le plus grand des Écarts est de vous les offrir]
444
 
Écarts
444-456
 
À S. auteur des Trois siècles [Sabatier - Si vous n’aviez servi que le Dieu d’Israël]
456-457
 
Fragments d’une lettre à la M. de C. [Coigny ? - Régnez en paix sur ces rivages]
457-458
 
Inscription sur un banc [C.A. de Ligne - Il fut assis ici, celui que j’aimais tant]
458
 
À Madame Lebrun, le plus habile peintre [Pour avoir fait à l’Empyrée]
458-459
 
À une novice [Sans espérance d’arriver]
459-460
 
À M. de M. au sujet de ses vers sur une promenade sur le Danube [Vainqueur aujourd’hui de moi-même]
460-461
 
Invitation pour une fête [Songez que par une beauté]
461
 
À la fin d’un spectacle de société [André - Colette vous demande grâce]
462-463
 
Pour une autre fête, à un chancelier [Votre patron était un bon apôtre]
463
 
Envoi [Jardinier à moustache, ayant sabre et serpette]
463-464
 
Sur un mariage [Je donnerais bien ma Toison]
464
 
En envoyant deux poèmes sur les jardins à la princesse de L. [Reposez vos beaux yeux, princesse, en ces vergers]
465
  Billet [Si ce sot petit curieux] 465-466
 
Chanson [La fête de ma cousine]
466-467
 
Discours de l’évêque Gobel [O vous, peuple éclairé ! Pourquoi ces Christ mourants]
467
 
Au C. O… Polonais [Au sein de l’amitié de  vos admirateurs]
467-468
 
Plaisanterie de Mme la comtesse de … à M. le comte de L. [Vous parlez aussi bien d’amour que d’amitié]
468-469
 
Au comte C. de H… [Mon amitié pour toi n’étant point en peinture]
469
 
Au C. O. [Ce que tu dis de moi, te regarde bien plus]
470
 
Couplet d’Isabelle grosse par vertu [T.S. Gueullette - On a donné dans la bosse]
471
 
À la princesse de L. [Pour remettre vos yeux souillés par d’affreux mots]
471-472
 
Suite d’un spectacle de société [Sabran - Fi donc, M. Guillaume]
472-474
 
Sous le portrait du maréchal de Lacy [Forcer tout - et soi-même, et l’envie, et la gloire]
474
 
Mes quand. À Mme de R. [À l’ardeur qui brûle mon âme]
475-476
 
Sous le portrait du maréchal Lacy [Premier des généraux, le meilleur des soldats]
476-477
 
Sous le portrait de la comtesse R. [Elisabeth - Mieux que le peintre et moi ses yeux sont son portrait]
477
 
Écarts
477-491
 
Sur un air allemand [Adieu, triste indifférence]
491-492
 
Imitation de l’allemand. À Mme la comtesse de Pachta [Arbitre des destins, planant dans l’azurée]
492-493
 
Inscription sous la statue de l’Amour [Il régnait en tyran autrefois dans mon âme]
493-494
 
Portrait d’une Louise [En profil elle est belle, en face elle est jolie]
494
 
À Mme la comtesse de P. [D’amours éparpillés et de vers à la diable]
495
 
À Mme la comtesse de P. [Pour garder la vie ou le cœur]
495-496
 
Traduction littérale de l’allemand [L’Homme. Comment t’appelle-t-on, aimable et bel enfant]
496-497
 
  Écarts [La revue] 507-513
 
Ma semaine
513-521
 
Ode à l’indifférence [Monstre d’autant plus effroyable]
524-526
 
Écarts
526-531
   
  Plan du site    
Updated : 20 August, 2006
All rights reserved ALITER.BE ©