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Consultation séquentielle des textes intégraux

 Tome 
 Titre
 Page 
XXIX .
 
1807, À mon refuge sur le Leopoldberg près de Vienne, et se vend à Dresde chez George Frédéric Walther.
 
  Titre (i)
 
Table des matières

(iii-vi)

  Avant-propos (1)-4
  Encore sur le Lycée. Tome 13e. (5)-10
  Tome 14e 10-20
  Tome 15e 20-27
 
1e partie du tome 16
28-31
  2e partie du tome 16 31-37
  Fragment sur Casanova. Mémoires de ma vie écrits par moi-même à Dux en Bohême. Préface 38-45
  Note de l’éditeur 45
 
Texte
45-78
 
Écarts
79-124
 
À une charmante petite Mexicaine [Si j’avais conservé cet air de la candeur]
(187)-188
 
Au comte de Langeron [Je vous aime comme je vous estime]
188-190
 
Mon bonheur [Quel bonheur est le mien ? Enchanté de moi-même]
190-192
 
Mon malheur [Quel malheur est le mien ! Je ne puis point encore]
192-193
 
Couplets chantés par deux jolies petites nièces ou cousines élevées par le général Armfeld [Se peut-il qu’un diable à la guerre]
193-194
  À une demoiselle qui allait faire la belle à la messe de midi [Quoi ! Vous ne vous lassez jamais de vouloir plaire] 194
  Au baron de Retzer [Êtes-vous donc encore si censeur que sensé] 195
  Dans une lettre à mon vieux abbé Pagès [En calembours] 196
 
À ma chère Joséphine [van Welderen - Que de formes pour vous plaire]
196-197
 
Impromptu sous les yeux de la femme [L’orgueil un jour se mettant en voyage]
197
  En envoyant La duchesse de la Vallière de Madame de Genlis à la C.J.d.V. [Joséphine van Welderen - Elle ne marchait pas si droit] 198
  J’avais oublié ce livre [Je vous envoie enfin la belle la Vallière] 199
 
Elle venait de parler du qu’en dira-t-on [Quand sur quelque principe affreusement assise]
199-200
 
Impromptu tout en lui parlant [Je vous aime douce et bonne]
201-202
  En envoyant à la princesse Bagration mon ouvrage sur les jardins [Courtisan du dieu des jardins] 202
 
Pour la fête de la princesse Jean [Lichtenstein - Aujourd’hui l’amour rit aux anges]
203-204
 
En envoyant à la princesse Jean une baignoire [Lichtenstein - Mettez dans votre cassette]
204-205
  La bien belle Mme Narskin [Celle qui se rit de l’amour] 205-206
 
Celui dont on voit le nom [Dutens - Est-il vrai que Monsieur Dutens]
206-208
 
Réponse très improvisée [À plusieurs charmantes femmes]
208
 
Billet du matin à Madame Medlef née Soltikoff [Digne épouse de l’homme aimable]
209-210
 
À la comtesse de Manteuffel [J’offre à votre âme ici d’illustres souvenirs]
210-211
 
Sur le stammbuch de Mlle de Larisch [Votre époux chantera bientôt votre vertu]
211-212
 
Je ne sais à qui [Ci gît qui n’a plus qu’un hiver à vivre]
212
 
Apparemment que cette femme aimait les épitaphes [Ci gît qui termina sa brillante carrière]
213
 
Au superbe bal masqué donné à Eisenstadt [mariage de Léopoldine Esterhazy et Maurice de Lichtenstein - Tremblez Léopoldine, en voyant un sorcier]
213-214
  À cet époux de la belle Léopoldine [Maurice, admire ma science] 215
  Mes adieux [Belœil - Avant tout mes adieux à la vie, à l’amour] 216-229
  Fragment d’une lettre [Langeron - On lira souvent ton nom cher à mon cœur] 230
 
Léonore par Bürger [L’aurore paresseuse en sa jeune saison]
230-236
 
La flèche par Bürger [Oui, sans doute, l’on peut parer]
236
  Thirsis par Kleist [Ô Kleist ! Horace des Germains] 236-237
  Au prince Zouboff [Allez, Phaéton téméraire] 252
 
L’astronome ivre de Kleist [Non, non, Messieurs, Copernic n’est pas bête]
237
 
Le peintre de Pfeffel [Timante grand maître en son art]
237
  Les deuxièmes noces de Pfeffel [Ah ! Pauvre Marguerite, a dit un jour Martin] 238
 
Les singes et le miroir. De Michaelis [Deux singes voyageaient sans doute pour s’instruire]
238-239
 
Le veuf. De Bürger [Ami Guillot lui disait un voisin]
239-240
 
La mort d’un grand homme. De Kleist [L’affreux ciseau de la fatale Parque]
240
 
Suite du roman : Valérie ou lettre de Gustave de Linar à Ernest de G.
(241)-262
  Préface (243)-246
 
Suite de Valérie
247-262
 
Sur les Mémoires de M. le baron de Besenval (263)-276
(263)-276
     
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Updated : 12 October, 2006
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